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Centre de soins et de réhabilitation de la faune sauvage bolivienne

Fera Anima est une association à but non lucratif, qui a comme objectif de recueillir, soigner et libérer les animaux sauvages dans le besoin en Bolivie

Margay (Leopardus wiedii)

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Paresseux à deux doigts (Cholepus didactylus)

Nos missions

01

Venir en aide aux animaux sauvages en Bolivie, via la construction d’un centre de soins éthique et respectueux du bien-être animal

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02

Maximiser les chances des animaux rescapés de retrouver leur liberté avec des structures, méthodes et protocoles centrés sur la libération et conformes aux exigences légales du pays

Créer des zones protégées en réensauvageant des milieux propices au développement de la vie sauvage afin d’y mener des études de conservation de la faune et de la flore

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04

Promouvoir des actions de conservation de l’environnement et de sensibilisation à la protection de la biodiversité auprès des communautés locales et des touristes en proposant des solutions alternatives à l’exploitation de la faune

Valoriser les communautés locales en créant des emplois et partenariats durables, en accord avec les activités du centre

06

Transmettre les connaissances nécessaires au soutien de la biodiversité en formant des professionnels compétents dans le domaine des soins vétérinaires et de la conservation

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La Bolivie

Pays d’Amérique latine, la Bolivie est en partie recouverte par la forêt amazonienne, où la faune se trouve grandement menacée par divers facteurs.

 

Les causes principales d’arrivée d'animaux sauvages en centre de soins d’ sont les activités humaines, comme le braconnage, incendies forestiers, déforestation, urbanisation, électrocution, accidents de la route, attaques par les animaux domestiques, pollution et empoisonnements.​ L’exploitation de la faune sous forme de trafic illicite, à destination de vente de produits carnés ou détention illégale, est également très présente dans cette partie de l’Amérique latine.

 

Enfin, la méconnaissance des problématiques écologiques par les habitants et les touristes crée une mauvaise cohabitation entre les populations locales et les animaux sauvages.

 

Les structures de soins déjà existantes sont peu nombreuses et surchargées, et la politique de libération du pays étant très restrictive, rares sont les animaux qui ont la chance de retourner dans la nature après leur prise en charge. 

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Hurleur roux (Alouatta seniculus)

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